Blogoverdose ou presque
La blogosphère qui se vend, la blogosphère qui pute sur la blogosphère qui se vend, la blogosphère qui débat sans fin sur ceux qui se vendent et ceux qui putent, toute cette blogosphère-là, toutes ces blogosphères-là me saoule(nt) sévèrement en ce moment. D'un autre côté, ça permet de faire plus facilement le ménage dans mes flux RSS et d'aller voir ailleurs sans remords ni regrets. Je ne juge pas, je nettoie, c'est plus simple et surtout plus intelligent. Chacun sa route, chacun son chemin, n'est-ce pas? (j'irai sans doute en enfer pour avoir cité Stefan Eicher ET Tonton David dans le texte dans ce post, mais je le fais quand même, pour vous dire à quel point d'ennui et de fatigue j'en suis arrivé sur le sujet...)
Heureusement, à côté de ça, on fait encore des rencontres sympas, agréables, passionnantes, sur le web, et parfois, avec un peu de chance, dans la vie réelle. Comme ce midi. Un déjeuner tout simplement comme dans la vraie vie d'avant le web 2.0, un déjeuner tout simplement agréable, à parler de tout, de rien, des rues de Berlin numérotées n'importe comment, de jambes d'1m60 de long, d'un serveur qui crashe et de geeks qui savent même pas utiliser Photoshop, le tout devant un bon plat de linguine au saumon, et à se faire presque un nouveau pote du serveur qui adore mes lobes, promis, c'est la vérité, et il n'y a rien de sexuel là-dessous, juste mes oreilles. Qu'est-ce que c'est bien, la vraie vie! Merci miss, on reparle "circuit fermé" et "niquer" quand tu veux.
PS: Conclusion pour tous les chieurs de la blogosphère: SHUT THE FUCK UP AND GET A FUCKIN' LIFE. YOU SUCK!